Jamel Debbouze
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Jamel Debbouze

Jamel Debbouze
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -45%
Four encastrable Hisense BI64213EPB à ...
Voir le deal
299.99 €

 

 vIOLENCE URBAINE 2

Aller en bas 
AuteurMessage
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

vIOLENCE URBAINE 2 Empty
MessageSujet: vIOLENCE URBAINE 2   vIOLENCE URBAINE 2 EmptySam 5 Nov - 6:58

Voici les dernières réactions après les incidents à Clichy-sous-Bois et dans les banlieues parisiennes.

A droite

Marine Le Pen, présidente du groupe FN au conseil régional d'Ile-de-France : Il est nécessaire que "le Conseil des ministres décrète immédiatement l'état d'urgence" sur "tous les territoires" touchés par les violences urbaines de ces dernières nuits.
"La principale mesure consisterait à obliger le dépôt dans les commissariats de toutes les armes et munitions, le tout sous peine d'un emprisonnement immédiat". (Communiqué, vendredi 4 novembre)

Eric Raoult, député-maire UMP du Raincy (Seine-Saint-Denis) : "Qu'on mette nos étiquettes politiques dans nos poches. Il n'y a pas une façon de droite ou une façon de gauche de sauver un môme". Gauche et droite ont leur "part de responsabilité" dans la situation des quartiers sensibles. "Arrêtons ces polémiques Villepin-Sarkozy-Begag". Les violences urbaines des nuits dernières en région parisienne ne sont "pas spontanées" mais le fait d'"un certain nombre d'agitateurs et de provocateurs". (Déclarations sur France Inter, vendredi 4 novembre)

Gérard Gaudron, maire UMP d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) : "Le pic des incidents est maintenant derrière nous". "Il y a un certain nombre de parents qui ont déjà pris conscience qu'il fallait aussi que ça s'arrête et qui vont peut-être faire rentrer leurs enfants à la maison". La population éprouve "un ras-le-bol généralisé" face aux violences. "C'est une colère contenue parce que les gens ont peur.
Il est temps que tout ça s'arrête." (Déclarations sur France Info, vendredi 4 novembre)

Georges Tron, député UMP de l'Essonne : Les violences urbaines en banlieues sont le fait de "groupes extrêmement organisés" et "n'ont plus aucun lien" avec la mort des deux adolescents à Clichy-sous-Bois. Il s'agit de "délinquance organisée". "Après ce que nous a dit Sarkozy", "on a le sentiment qu'on n'est plus dans une situation qui est simplement liée (aux événements de jeudi) mais dans une situation d'autre nature". Ces violences urbaines se produisent "alors même que jamais les efforts financiers n'ont été aussi importants en banlieue". (Déclaration, jeudi 3 novembre)

Jean-Marie Le Pen président du Front national "Le gouvernement est fatalement incapable de faire face à la situation insurrectionnelle qui se répand dans les zones de non-droit, puisqu'il en est le principal responsable, et toute la classe politicienne avec lui"[…]"Or à travers les agents et les symboles de l'Etat, c'est la France elle-même qui est attaquée, par des hordes que les lois dites antiracistes ne doivent plus nous empêcher de désigner comme étrangères"[...]"Quant aux tristes clones de Sarkozy qui, pour se faire leur publicité, se baladent dans les banlieues incendiées en récitant en play-back les positions du Front national, leur agitation est dérisoire et indécente".
(Communiqué, jeudi 3 novembre)

Philippe de Villiers, président du Mouvement pour la France (MPF) "Nous sommes dans une situation non seulement de guérilla urbaine, avec les voitures qui brûlent et maintenant les tirs à balles réelles depuis cette nuit, (mais) de guerre civile ethnique", "il a dénoncé "l'unité du monde politique dans le mensonge".
"Je constate, en écoutant les uns et les autres (...) qu'on ne prononce pas le mot-clé, la cause de toutes les causes: la faillite d'une politique d'immigration massive et incontrôlée", a-t-il dit. "On donne aujourd'hui sur notre territoire le droit à des bandes d'illégaux de faire la loi chez nous."
(Déclaration, RTL, jeudi 3 novembre)

Roger Karoutchi, président du groupe UMP au Conseil Régional d'Ile-de-France, "a lancé une pétition de soutien à la politique de sécurité républicaine en Ile-de-France incarnée par Nicolas Sarkozy".
Il a défendu dans un communiqué "une politique juste mais ferme". "Alors que les violences urbaines s'étendent à tous les départements franciliens, la population exaspérée et les élus souhaitent une plus grande fermeté face à une infime minorité de délinquants qui terrorisent les quartiers afin de préserver leurs trafics lucratifs".
(Communiqué, jeudi 3 novembre)

Georges Fenech député UMP du Rhône, a affirmé jeudi "l'urgence absolue de doter la police et la justice des moyens de lutte adaptés contre la criminalité et la guérilla urbaine".
Il a plaidé pour "la création d'une loi anti-émeute", l'instauration "d'un couvre-feu pour les mineurs de 16 ans en état d'errance nocturne", et "la possibilité d'une mise sous tutelle des prestations sociales pour les parents responsables de carences éducatives répétées".
(Communiqué, jeudi 3 novembre)

Charles Pasqua, ancien ministre de l'Intérieur, a estimé jeudi que "la priorité des priorités était de rétablir l'ordre" dans les banlieues et souhaité que Jacques Chirac "vienne devant le pays".
Charles Pasqua a jugé sur Canal+ que l'intervention du chef de l'Etat en Conseil des ministres, mercredi, appelant à "l'apaisement des esprits", n'était pas "suffisante".
(Déclaration, Canal plus, Jeudi 3 novembre)

François Bayrou, président de l'UDF, estime que la situation dans les banlieues mérite un "front commun national". "Je ne crois pas qu'on puisse sortir de cette affaire par la surenchère politique d'un camp contre un autre", a déclaré François Bayrou en commentant les violences urbaines.
La lutte contre la délinquance et la promotion d'une politique en faveur de ces quartiers devraient "relever d'un pacte national pour essayer tous ensemble de faire front commun" a-t-il estimé. (France Inter, jeudi 3 novembre)

Jean-Louis Borloo, ministre de l'Emploi et de la Cohésion sociale, estime que face aux violences urbaines en région parisienne, "la fermeté doit rester de mise" mais "la main tendue aussi". "Je n'excuse rien, la fermeté doit rester de mise, mais évidemment la main tendue aussi", a déclaré Jean-Louis Borloo, après une nouvelle nuit de violences urbaines en région parisienne. (France 2, jeudi 3 novembre)

Alain Juppé, ancien Premier ministre, se déclare "inquiet" de la situation créée en France, suggérant qu'il faut des "mesures et des crédits" pour y faire face, mais aussi peut-être "des symboles et de l'humanité". "Ce qui m'inquiète aujourd'hui, c'est la division qu'on sent se créer entre les composantes de la communauté nationale: Français et étrangers, Français d'origine et immigrés de la 2e ou de la 3e génération, chrétiens (souvent O combien déchristianisés) et musulmans...", écrit-il. (jeudi 3 novembre, blog)

Cinq parlementaires UMP, dont Nicolas Dupont-Aignan et Lionel Luca, dénoncent la "décrépitude de la justice" et demande "l'augmentation massive des effectifs de greffiers et de juges d'application des peines", suite à la flambée de violences. "Au-delà de la gestion immédiate de ces émeutes, c'est bel et bien la crise de la République et de l'Etat régalien qui est en cause", affirment ces élus. Selon eux, "à force de dénigrer le modèle républicain d'assimilation et de laisser se développer le communautarisme qui fait le lit de l'intégrisme, c'est toute une partie de la population que l'on abandonne à la tentation de la révolte contre les institutions de la République".
"Le spectacle de représentants communautaires chargés de rétablir l'ordre public est à cet égard inadmissible", ajoutent-ils. (Communiqué, mercredi 2 novembre)

Maurice Leroy, député UDF du Loir-et-Cher: La réponse de Dominique de Villepin "me paraît juste, équilibrée et absolument indispensable, mais elle vient un peu tard. Il était temps que le président de la République intervienne, y compris pour appeler au calme au sein même du gouvernement.
Sur le terrain, les délinquants évidemment jouent sur les divisions gouvernementales". (Assemblée nationale, mercredi 2 novembre)

Nicolas Dupont-Aignan, député UMP de Essonne : M. de Villepin "a exprimé des paroles justes mais j'attends de vraie annonces (...) Il faut recruter massivement des greffiers dans les tribunaux. Cela ne sert à rien de parler d'Etat de droit quand on sait qu'il faut attendre un an ou deux ans en France pour exécuter une décision de justice". (Assemblée nationale, mercredi 2 novembre)

Jean-Christophe Lagarde, député UDF de Seine-Saint-Denis: "Le gouvernement a montré des discours complètement inadaptés à la situation avec des déclarations brutales (...) et un désordre invraisemblable et une cacophonie qui fait que l'Etat ne peut plus être respecté, ni entendu. L'intervention de M. de Villepin fait partie de la compétition habituelle et renouvelée entre le Premier ministre et le premier de ses ministres". (Assemblée nationale, mercredi 2 novembre)

Jacques Chirac : "Il faut que les esprits s'apaisent. Il faut que la loi s'applique fermement et dans un esprit de dialogue et de respect".
Le gouvernement devra faire en Conseil des ministres, "dans un délai d'un mois", des "propositions pour accélérer et renforcer" l'efficacité des mesures en faveur de l'égalité des chances. Le chef de l'Etat a souhaité que "les résultats des enquêtes sur les circonstances du décès dramatique" des deux jeunes, Zyed Benna et Bouna Traore, "soient connus au plus vite. C'est essentiel". Il est "indispensable d'élucider les circonstances dans lesquelles la mosquée de Clichy a été atteinte par une grenade lacrymogène et d'en tirer toutes les conséquences". Il faut que "tout soit mis en oeuvre pour que les auteurs de l'ignoble assassinat" d'un quinquagénaire jeudi à Epinay-sur-Seine "soient sanctionnés comme ils le méritent". "Nous devons agir en nous fondant toujours sur les principes qui font notre République: chacun doit respecter la loi; chacun doit avoir sa chance".
"Il ne peut pas exister de zone de non-droit en République et il revient aux forces de l'ordre, qui agissent au service des Françaises et des Français dans des conditions souvent très difficiles, de faire appliquer la loi et de garantir à chacun le respect et la sécurité".
Le gouvernement dispose de "puissants moyens d'agir pour assurer l'égalité des chances", citant la loi de cohésion sociale, le plan de rénovation urbaine et la Haute Autorité de lutte contre les discriminations. "Mais nous le voyons bien aujourd'hui, il faut aller plus vite encore en associant action immédiate sur le terrain et développement du dialogue". (Paris, propos rapportés par le porte-parole du gouvernement Jean-Français Copé, mercredi 2 novembre)

Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur : Interrogé sur le fait de savoir si Azouz Begag, qui a déploré à plusieurs reprises le vocabulaire de Nicolas Sarkozy ("nettoyer au Kärcher", "racaille"), "lui avait facilité la tâche", le ministre a répondu "non" sans autre commentaire. Auparavant, interrogé sur les raisons pour lesquelles M. Begag ne s'était pas rendu en banlieue, il a indiqué que c'était "à lui de répondre". (Europe 1, mercredi 2 novembre)

Bruno Gollnisch, numéro deux du Front national : "Les responsables sont à l'Elysée, dans les ministères et au Palais-Bourbon" et qu'"il faut les chasser des fonctions qu'ils occupent".
"Les propos de Nicolas Sarkozy du type 'nettoyer les banlieues au Kärcher' ou 'les débarrasser de la racaille' ne sont que des rodomontades".
Le Front national revient sur les événements de Clichy-sous-Bois, qui ne sont, pour lui, "pas une surprise". "Le fait de fuir la police, d'escalader deux murs et de se réfugier dans un transformateur haute tension est une lourde faute et une tragique imprudence dont la responsabilité incombe à leurs seuls auteurs, et, s'ils sont mineurs, à leurs parents". (Communiqué, mercredi 2 novembre)

Pascal Clément, ministre de la Justice : Le début de polémique entre le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy et Azouz Begag, ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances, "n'entraîne pas pour autant une crise gouvernementale". "Il y a eu une montée médiatique; ça n'entraîne pas pour autant une crise gouvernementale (...). Ca vaut en famille, ça vaut dans un gouvernement : on n'a pas tous le même tempérament. Azouz Begag n'a pas le tempérament de Nicolas Sarkozy, mais on a besoin des deux". (RTL, mercredi 2 novembre)

Eric Raoult, député de la Seine-Saint-Denis : La grenade lancée dans la nuit de dimanche à lundi à l'intérieur d'une mosquée à Clichy-sous-Bois qui a ravivé les tensions serait plutôt "à poivre", et donc venant des manifestants, et non une grenade lacrymogène, qui aurait été lancée par des policiers. "Les policiers sont sur place" et ils font "un travail qui n'est pas facile". "Ils ont parfois le même âge que ceux qui sont en face d'eux" et "vivent dans le même département". "Il n'y a pas de "crise entre la police et la justice". "On est dans un phénomène d'émeute urbaine". "Il y a maintenant des hors-la-loi qui veulent garder des zones de non droit". "Est-ce qu'on peut accepter que dans un certain nombre de lieux de notre territoire, la République ne soit plus une réalité". (RTL, lundi 31 octobre)

A SUIVRE.....
Revenir en haut Aller en bas
 
vIOLENCE URBAINE 2
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» VIOLENCE URBAINE 1
» VIOLENCE URBAINE 3 ET FIN .... donnez votre avis.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jamel Debbouze :: Discussion Générale-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser