Jamel Debbouze
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Jamel Debbouze

Jamel Debbouze
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
Oceanic – Climatiseur monobloc réversible mobile 3530 W /12000 BTU
254.99 € 319.99 €
Voir le deal

 

 Jamel dans la presse !

Aller en bas 
+16
samia94
emiii
lolo76
*Aurore*
zerlajamelist
jamarion
jamelovelia7
Aurore-tout-court
caro
Marion 35
°° LIKI °°
modrey
LA MATRICE
Alex...
pauline
Elodie
20 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7  Suivant
AuteurMessage
jamelovelia7
Langue pendue
jamelovelia7


Nombre de messages : 2091
Localisation : Lille
Date d'inscription : 22/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyDim 12 Fév - 19:37

oé c vrai..un tit peu oublier !
Revenir en haut Aller en bas
http://jamelovelia7.skyblog.com et http://lilydebbouze.skyblog.c
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyMar 14 Fév - 0:04

Djamel Debbouzes'est ouvert aux jeunes
L'humoriste français a rencontré des jeunes Namurois. Entre humour et réalités crues du quotidien.
BENJAMÉ MORIAMÉ
dimanche 12 février 2006, 02:00

Rares sont les Namurois qui ont eu les honneurs d'une rencontre avec Djamel Debbouze, durant son passage à Namur, la semaine dernière. Pourtant, les Maisons de jeunes n'ont pas dû insister afin d'obtenir un rendez-vous pour 360 fans venus des banlieues. Samedi, les jeunes sont arrivés avec un enthousiasme débordant.

C'est dans le chahut que Djamel est entré en scène, réclamant le silence à sa manière, non sans succès : « Ta gueule, cousin. » Mais Djamel a d'emblée manifesté du respect pour les jeunes. Son téléphone sonnait : « C'est Chirac ! Tant pis, je le coupe. » A partir de là, il n'y avait plus que les rires et les questions pour l'interrompre.

Une première question jetait Djamel dans le vif du sujet, sans le prendre de cours. « Non, moi je n'ai pas brûlé des voitures dans ma banlieue... A l'époque, on préférait des cars ou des camions, rigole-t-il. Sérieusement, je pense que les jeunes n'ont pas fait ça de gaieté de coeur, mais parce qu'ils n'avaient pas d'alternative. Suite à ces événements, beaucoup ont compris que le seul moyen pour eux de sortir de la banlieue, c'est l'école, le travail, un vote intelligent... »

Quand les jeunes ont demandé à Djamel de se positionner dans le débat sur les caricatures de Mahomet, la discussion a atteint sa tension maximale. « La religion prend de plus en plus de place dans l'esprit des gens... Mais pas la bonne ! Cette affaire prend des proportions démesurées, parce que certains prêcheurs en profitent. » Et quand certains s'indignent dans la salle, il complète : « Il est injuste et dangereux de salir l'image de tous les musulmans, de les blesser inutilement. Quand je rigole de quelqu'un, je fais toujours attention à ne pas le blesser. »


Les propos nuancés de Djamel ont su toucher son jeune public. « Il s'est montré très ouvert, sans a priori, constate Deborah De Jonghe. Il nous a parlé d'égal à égal, avec sincérité. J'ai apprécié l'idée que nous sommes de partout, plutôt qu'attachés strictement à une nationalité. »


« Je suis d'ici, c'est-à-dire Namurois pour le moment », avait expliqué Djamel. Avant de partir, il a donné la parole à un garçon haut comme trois pommes, prénommé Ahmed. « Avec son prénom arabe, ses yeux bleus et ses cheveux blonds, ce garçon est l'avenir de la Belgique ! »
Revenir en haut Aller en bas
pauline
Langue pendue
pauline


Nombre de messages : 8874
Localisation : rennes
Date d'inscription : 20/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyMer 15 Fév - 17:21

Very Happy merci bocoup liki clown thumleft
Revenir en haut Aller en bas
http://fan2jamel35.skyblog.com
lolo76
Langue pendue
lolo76


Nombre de messages : 143
Localisation : rouen 76
Date d'inscription : 05/02/2006

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyMer 15 Fév - 17:41

moi aussi des que j'ai un truc sur jamel bedouse je vous contact et comme il dit "tu socupe de rien je s'occupe de tout" et juste comme sa si kelkun c si jamel vien en seine maritime prévenez moi svp bisou
Revenir en haut Aller en bas
*Aurore*
Langue pendue
*Aurore*


Nombre de messages : 2907
Localisation : Loir et Cher
Date d'inscription : 28/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyMer 15 Fév - 18:02

franchement merci trop cette article a chaque je regarde si ya d articles mé lui je ne les jamais vu !!!
Revenir en haut Aller en bas
jamelovelia7
Langue pendue
jamelovelia7


Nombre de messages : 2091
Localisation : Lille
Date d'inscription : 22/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 16:19

Liki i tue ton article, en plus je voulais savoir l'avis de Jamel sur Mahomet, dc merci !
Revenir en haut Aller en bas
http://jamelovelia7.skyblog.com et http://lilydebbouze.skyblog.c
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 16:25

study La leçon de vie de Jamel



360 jeunes des quartiers sont venus à sa rencontre au Théâtre

NAMUR Cela faisait des mois que la Ville de Namur l'espérait. Et jeudi à minuit, Jamel Debbouze en tournée à Namur, a accepté de rencontrer les jeunes des quartiers. Samedi soir, au Théâtre de Namur, Jamel a fait mouche sur 360 jeunes et leurs encadrants issus des maisons de Jeunes namuroises, du comité albanais et du centre culturel turc, réunis par Nasser Ougati. À l'entame, le dialogue était un peu tendu. Faut dire que l'ex-gamin des banlieues s'est offert le chic de faire poiroter près d'une heure ces jeunes étonnamment calmes dans l'attente de leur idole. Les excuses bateau de Jamel ne sont pas passées au bleu. Mais vite, l'enfant terrible a le tour. Si la leçon citoyenne de Jamel n'évite pas la démago («Je suis Namurois, ce soir, mon frère») ses paroles sont directes et, somme toute, transpirent le vrai, la sincérité.

Jamel, qu'as-tu pensé des émeutes?

«Malheureusement des camions et des voitures ont été brûlés. Les jeunes ne l'ont pas fait de gaieté de coeur. Ils l'ont fait parce qu'ils n'avaient pas d'autre manière de s'exprimer. Mais ils préféreraient avoir un boulot, un jardin, une vie normale. Ils ont compris un truc: la seule manière de s'en sortir, c'est d'aller à l'école, d'avoir un job, de voter, bref de jouer le jeu de la société.»

Et les caricatures?

«La religion prend de plus en plus de place et pas une bonne place. Dieu est dans le coeur des hommes. Je suis musulman et fier de l'être. Et je ne tolère pas le non respect. Mais ça m'énerve de voir les gens s'échauffer. Ça sert à certains médias, à manipuler. Les caricatures ont été dessinées il y a six mois, demandez-vous pourquoi on en parle seulement maintenant.»

Comment tu vois les problèmes d'emploi, d'insertion ?

«Il ne faut compter que sur soi-même. Si tu ne t'occupes pas de toi, cousin, on va s'occuper de toi! Je me souviens des conseils que ma famille me donnait: ils me saoulaient. Moi, je voulais bouffer la terre. Je me suis dit : j'y vais! Si en banlieue, on accède rarement aux grandes écoles, c'est aussi parce qu'on ne le demande pas. Si toi tu te respectes, tu imposeras le respect, mon frère.»

Comment tu envisages ton avenir?

«Moi, être sur une scène, c'est comme respirer. Mais vous, allez à l'école! Je ne suis pas un exemple à suivre, je suis une exception. On n'a pas tous la chance d'être Zidane, d'être acteur. Mais on a tous la chance d'avoir une tête, des poumons et si vous y mettez le coeur, ça arrange tout le monde. C'est à vous d'écrire votre histoire.»

© La Dernière Heure 2006

Anne-France Somers

thumleft salut
Revenir en haut Aller en bas
jamelovelia7
Langue pendue
jamelovelia7


Nombre de messages : 2091
Localisation : Lille
Date d'inscription : 22/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 16:36

Merci pr toute c interview Liki !!
Revenir en haut Aller en bas
http://jamelovelia7.skyblog.com et http://lilydebbouze.skyblog.c
pauline
Langue pendue
pauline


Nombre de messages : 8874
Localisation : rennes
Date d'inscription : 20/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 20:20

ouais merci salut thumleft
Revenir en haut Aller en bas
http://fan2jamel35.skyblog.com
emiii
Bavard
emiii


Nombre de messages : 20
Localisation : namur (belgique)
Date d'inscription : 13/02/2006

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 16 Fév - 20:38

Ouais Merciii Pour L'info Liki, Et les Autres Aussi Wink
Revenir en haut Aller en bas
http://jamel-forever.skyblog.com
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 17 Fév - 1:53

mais de rien salut
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 17 Fév - 2:38

ENCORE UN MAIS IL EST¨PAS TOUT 9 salut

La construction de studios cinématographiques se développe
Maroc: destination cinéma

Pour Debbouze, c’est évident. Il y a d’abord la lumière, exceptionnelle. Il y a ensuite les paysages naturels, variés. Montagnes, déserts, plages, tout est à proximité.

Le Maroc peut se vanter d’attirer les investissements dans le domaine du cinéma. Après l’annonce de la construction à Ouarzazate d’un studio qui accueillera le tournage d’Alexandre le Grand, c’est au tour de Marrakech d’abriter la construction de studios qui porteront le nom de Studios Cinématographiques de Marrakech (SCM).
L’annonce a été faire lors de la deuxième édition du festival international du film de Marrakech, par le comédien franco-marocain Jamel Debbouze. Les partenaires de Debbouze pour ce projet ne sont pas des inconnus. Il s’agit de Serge Bergudo, ancien ministre du tourisme du Maroc et grande figure de la communauté juive locale, et Alex Berger, producteur franco-américain. Mais pourquoi le Maroc et pourquoi Marrakech? Pour Debbouze, c’est évident. Il y a d’abord la lumière, exceptionnelle. Il y a ensuite les paysages naturels, variés. Montagnes, déserts, plages, tout est à proximité. La ville dispose aussi d’infrastructures complètes au niveau du transport, des communications et de l’hébergement.
Debbouze est également convaincu que toutes les compétences nécessaires sont disponibles sur place.

Les studios seront construits à 14 kilomètres au sud de Marrakech, sur une surface de 30 hectares. D’ici à 2004, quatre studios de 500 à 2 000 mètres carrés seront construits. Mais ce n’est pas tout. Des décors extérieurs permanents, des salles de montage, de maintenance, des ateliers de fabrication de décors et accessoires, un centre de stockage des films et une salle de projection complèteront les équipements. Les SCM accueilleront aussi bien des tournages de films que des séries, des jeux télévisés ou encore des productions musicales. Selon Jamel Debbouze, l'exploitation pourrait démarrer en septembre 2003 avec une première grande production. On ne sait toujours pas de laquelle il s’agit.
A côté des studios, Serge Berdugo a annoncé la création d'une école internationale de cinéma qui, “dans un premier temps, sera un centre professionnel d'apprentissage des techniques de base du cinéma". Mais les promoteurs du projet n’en disent pas plus. Le tour de table n’est pas précisé non plus, mais il est certain que plusieurs sociétés auront leur part aux studios, comme Transpalux, déjà associée au projet, une société qui fournit des produits et services pour les professionnels du domaine.

Finance

Du côté de Ouarzazate, la construction d’un énorme studio commencera en octobre pour abriter en 2004 le tournage d'Alexandre le Grand, que doit réaliser l’australien Baz Luhrman, réalisateur de Moulin Rouge. Les travaux de construction vont durer six mois et employer 300 à 400 personnes. C’est le producteur italien Dino De Laurentiis qui va financer la construction de ce studio, qui devrait être prêt en mai.
Ces deux studios à Marrakech et à Ouarzazate viennent s’ajouter aux deux déjà existants : les studios Atlas de Ouarzazate, appartenant à Mohamed Belaghmi et les studios MPS de Sarim Fassi-Fihri, par ailleurs président de la Chambre Marocaine des Producteurs de Films (CMPF). A noter aussi, l’existence d’un petit studio au complexe artisanal de Ouarzazate, dédié aux tournages des intérieurs des églises, comme c’est le cas aujourd’hui avec le tournage de L’enfant de Bethlehem d’Umberto Marini.
Les autres studios ne devraient pas chômer d’ailleurs, puisque plusieurs projets sont en chantier. Si Ridley Scott , réalisateur de Gladiator et de Black Hawk Down, tournés tous deux au Maroc, a reporté son projet de tournage de Tripoli pour raisons personnelles, d’autres tournages sont à venir, notamment L'Exorciste III, dont le tournage commencera vers le 11 novembre 2002 et le deuxième long métrage de l'acteur français Edouard Baer, le scribe d'Astérix et Obélix: Mission Cléopâtre.
Ce n’est pas tout. On annonce également le tournage d’un film épique sur la guerre de Troie au Maroc, en Grande-Bretagne et à Malte par le réalisateur Wolfgang Petersen.
Cette superproduction, intitulée Troy, sera financée par la maison américaine de production de films "Warner Bros. Pictures et Village Roadshow Pictures". Le tournage du film commencera le printemps prochain mais il ne sortira sur les écrans qu’en 2004. Ces tournages sont de bon augure pour le Maroc. Les retombées socio-économiques ne sont pas négligeables. Le pays ambitionne de se positionner comme une terre d’accueil du cinéma mondial. Le potentiel est là. Le Maroc a tout les atouts faire du cinéma une source de création de richesses, qui profitera à tous.




--------------------------------------------------------------------------------

Les sous du cinéma

La construction de studios est une véritable aubaine. Les tournages rapportent une somme considérable.
Mais les investissements dans la région ne sont rien face au nombre des personnes employées par l’industrie cinématographique. Dans une région comme celle de Ouarzazate, où il n’y a ni agriculture, ni industrie, les jeunes attendent les tournages pour se faire un peu d’argent.
On se souvient du tournage de Black Hawk Down de Ridley Scott qui avait mobilisé des centaines de jeunes désœuvrés du quartier de Sidi Moussa à Salé. En fait, chaque tournage emploie obligatoirement des centaines, voire des milliers de personnes sur place: plâtriers, ferronniers, menuisiers…mais aussi, et surtout, des comédiens et des figurants.
Ainsi, l’année dernière, 13 040 personnes avaient travaillé dans la figuration et 719 dans le technique, sans oublier 233 interprètes. L’année 1998 avait employé quant à elle 557 techniciens, 254 interprètes et 22 953 figurants.
Lancée
L’année 2002 s’annonce bonne aussi. Les 6 long-métrages étrangers qui ont été tournés au Maroc au premier semestre de cette année représentent une somme de plus de 10 millions de dollars investis.
Pas moins de 4800 figurants y ont participé, et 720 techniciens marocains ont travaillé sur les plateaux.
Ceci sans compter les tournages de courts-métrages, d’émissions, de clips vidéos et de spots et reportages. On espère que cette année continuera dans la lancée de l’année dernière, qui a rapporté quelques 352 millions de dollars, nette évolution donc par rapport à 1998 où les tournages de long-métrages étrangers n’avaient rapporté que 51 millions de dollars.
Un tournage, c’est également une équipe de centaines de personnes qui vont loger et se restaurer sur place. L’équipe vient souvent en repérage avant de commencer le tournage.
La RAM quant à elle offre d'importantes remises sur le transport aérien des biens et des personnes.
Les producteurs étrangers ont trouvé au Maroc des facilités financière, des paysages variés, un climat idéal et une main d’œuvre disponible. Alors, Maroc, prochaine Hollywood ?
N.B.B.
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 17 Fév - 2:50

BON...1 ET PUIS C TOUT HEIN !!!!!!!!

Il est devenu l'un des acteurs les plus populaires de France, mais ne veut pas rester confiné au comique de situation qui a fait son succès. 2005 devrait voir s'affirmer un autre Debbouze, plus politique.
On pouvait se douter que les chiffres allaient être impressionnants, mais pas à ce point. Ce ne sont pas moins de 500 000 exemplaires du DVD du spectacle 100 % Debbouze qui ont été vendus à ce jour. Après une mise en place d'un million d'unités en novembre 2004, le coffret fait mieux que Harry Potter, se plaçant deuxième derrière Les Choristes, à égalité avec La trilogie Star Wars, dans le palmarès des meilleures ventes de DVD en France pour l'année 2004. Et, les 30 et 31 décembre, 4 000 personnes ont applaudi le comédien au Zénith de Paris, épilogue d'une tournée de 230 spectacles à travers l'Hexagone.

Jamel Debbouze est devenu l'un des acteurs les plus populaires de France. Son seul nom suffit pour faire d'un scénario ordinaire un film à succès. À 30 ans, il est passé sans « effets spéciaux » du RMI (revenu minimum d'insertion) à l'ISF, l'impôt de solidarité sur la fortune. Cette année, il sera à l'affiche d'Indigènes de l'Algérien Rachid Bouchareb, le réalisateur inspiré de Little Senegal, en tournage depuis le 17 janvier et jusqu'au 31 mai à Marrakech au Maroc, avec le must des acteurs franco-maghrébins du moment (Samy Naceri, Sami Bouajila, Roschdy Zem).

Le film projette le comédien dans un registre grave, loin du comique de situation qui a fait sa fortune. Indigènes rappelle le rôle des soldats maghrébins et subsahariens qui se battaient en première ligne en Italie, en 1944-1945, dans l'armée du général Juin. « J'espère enfin faire comprendre à mon petit frère qu'il est ici chez lui », explique-t-il, ravi de « rendre hommage à ces oubliés qui n'ont pas eu droit à la descente des Champs-Élysées après la victoire ».

Pour travailler son rôle, « lui donner force et vérité », le comédien est allé rencontrer à Marrakech de vieux tirailleurs, de « braves gens qui touchent 300 euros par mois et parlent encore de la France comme de la mère patrie ». Il en est revenu avec un enthousiasme décuplé pour « ce film qui pose de vraies questions ». Tant pis donc pour ceux qui s'obstinent à penser que « Jamel, c'est bien pour faire marrer et pas pour des rôles sérieux ».

En quelques années, le « petit trublion » du PAF (paysage audiovisuel français) est devenu, pour la presse, l'« acteur le mieux payé de France », ce qui l'irrite au plus haut point. Depuis qu'en 2002 le quotidien Le Figaro a divulgué le montant de son cachet - 2,12 millions d'euros - pour le film Astérix et Obélix : mission Cléopâtre, supérieur à celui de Gérard Depardieu et Jean Reno, le comédien franco-marocain a le sentiment de devoir justifier sans cesse ses revenus. Labélisé « bankable » (prononcer « bankébeul »), l'acteur ne compte plus les sollicitations. « Toutes les comédies m'ont été proposées, mais aucun scénario ne m'a fait kiffer. Je veux des trucs dont mes enfants seront fiers. » Indigènes rend hommage à « ceux grâce à qui je vote aujourd'hui », en référence aux tirailleurs africains, à la fois fer de lance et chair à canon de l'armée française au cours des deux guerres.

On a écrit qu'il avait désormais la grosse tête. Alors qu'il a à peine lu le scénario, la presse prétend qu'il exige 3,5 millions d'euros pour la prochaine comédie du cinéaste Francis Weber. Avec en filigrane cette étrange impression qu'il n'est pas « tout à fait normal en France qu'un "Rebeu" - ou un Camerounais, d'ailleurs - fasse autant de pognon. Pourquoi ne demande-t-on pas la même chose à Vincent Cassel ? » Combien va-t-il gagner pour Indigènes ? Jamel répond : « Le tarif syndical, 400 euros par jour, mais personne n'en parle, ce n'est pas intéressant. »

Notoriété aidant, l'acteur se donne les moyens de ses envies, car il peut, luxe suprême, choisir ses projets. Et « s'ils ne (lui) conviennent pas, en écrire ». Voire, au besoin, casser sa tirelire. Comme pour ce projet de studio de cinéma au Maroc qu'il espère enfin construire en 2005. Avec son nouvel associé et ami, le producteur Luc Besson, il rêve de donner vie à cette idée née pendant le tournage de Mission Cléopâtre à Ouarzazate. « Je me suis aperçu qu'il y avait des techniciens compétents sur place. Or la plupart des productions étrangères arrivent (ici) comme des colons, sans rien déléguer. Le Maroc, ce n'est pas que des babouches et des loukoums. »

Parlez-lui de double culture, il revendique volontiers la France et le Maroc, mais aussi la galère et l'aisance. « La misère, je la connais. Même si, aujourd'hui, je suis de l'autre côté. » Dans la grande maison qu'il vient de s'offrir à Marrakech, Jamel assume son nouveau statut de privilégié, mais n'oublie pas d'où il vient. Et s'il lui en prenait l'envie, sa famille, jamais loin, le lui rappellerait.

Rien ne prédestinait, pourtant, l'aîné des enfants Debbouze à cette success story aussi imprévisible qu'exceptionnelle. « Je suis un Rebeu d'1,65 m, à peu près 55 kg, avec un bras dans la poche. Normalement, avec ça, j'étais bon pour coller des timbres. » Il naît à Paris en juin 1975. Trois ans après, sa famille part s'installer au Maroc. Retour en France en 1979. Après quelques mois à Barbès - « Nous étions quinze dans un deux-pièces » -, il emménage avec les siens à Trappes, dans les Yvelines. C'est là qu'il fera le difficile apprentissage de la condition de jeune de banlieue. À 14 ans, c'est le drame. Son bras droit est happé par un train. Au lieu de larmoyer sur son sort, il découvre le plaisir des planches. L'école l'oublie vite, mais pas la scène. La Ligue d'improvisation du Centre théâtral de Trappes le sortira de sa cité pour l'installer au Théâtre Trévise à Paris. L'effet Jamel fera le reste.

Lucide, Jamel a su s'échapper du rôle d'ambassadeur des banlieues dans lequel on voulait l'enfermer pour toucher un public plus large. À ses célèbres gimmicks « bonjour Mesdames et Mesdames », il a ajouté des formules à la Coluche : « Quand on n'a aucune chance, il faut la saisir », ou encore « l'ascenseur social est resté bloqué au sous-sol, et ça pue la pisse ». Jamel a changé. Mutation qui trouve en partie sa source en avril 2002, avec la qualification de Jean-Marie Le Pen pour le second tour de la présidentielle française : « J'ai vu ma mère pleurer devant la télé. Elle murmurait : "C'est fini, c'est fini", comme si on devait immédiatement rentrer au pays ! »

Jamel a sans doute changé, mais sûrement moins que l'atmosphère qu'il dépeint. « Les Arabes n'ont pas la cote en ce moment », s'alarme-t-il. Ne se contentant plus de jouer les boute-en-train de service, il éditorialise, déjeune à la table de Mohammed VI, roi du Maroc, et se fait courtiser par Nicolas Sarkozy, candidat à un dîner avec le célèbre comédien. Par opposition à la génération de ses parents qui « courbaient l'échine », Jamel se revendique de celle des « pas d'accord ». En 2005 devrait donc s'affirmer l'autre Debbouze, plus politique, « la gauche caviar, y en a marre », celui qui veut être « influent pour mieux défendre les mecs de quartiers ».

ALEX SIEWE
Source : Jeune Afrique - L'Intelligent
Revenir en haut Aller en bas
*Aurore*
Langue pendue
*Aurore*


Nombre de messages : 2907
Localisation : Loir et Cher
Date d'inscription : 28/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 17 Fév - 13:21

sa fé plézir de tavoir car maintenant on a plus besoin de chercher
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 17 Fév - 17:37

ah ah ah .paresseuse! lol!
Revenir en haut Aller en bas
jamelovelia7
Langue pendue
jamelovelia7


Nombre de messages : 2091
Localisation : Lille
Date d'inscription : 22/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptySam 18 Fév - 3:08

lol, mais sérieu c vrai, sa fé zizir!
Revenir en haut Aller en bas
http://jamelovelia7.skyblog.com et http://lilydebbouze.skyblog.c
*Aurore*
Langue pendue
*Aurore*


Nombre de messages : 2907
Localisation : Loir et Cher
Date d'inscription : 28/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptySam 18 Fév - 19:20

lol! merci bicou liki
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 23 Fév - 1:08

pfff, j'peux pas m'empeché bande de fénéantes !!! lol!
Il est pas récent mais interessant!!!lol

JAMEL DEBBOUZE
« J’AI BEAUCOUP DE RESPECT POUR LES MEUFS, SURTOUT SI ELLES SONT BIEN FOUTUES »

Jamel Debbouze, star du rire et du cinéma, maître des vannes et de la tchatche est actuellement en tournée pour son spectacle « 100 % Debbouze », tournée qui s’achèvera en apothéose au Zénith de Paris les 30 et 31 décembre prochains. En parallèle, le DVD du spectacle sorti en novembre fait un énorme carton. Le 30 octobre dernier, le trublion était de passage aux arènes de Metz... Rencontre avec un des nouveaux poids lourds du rire, toujours à 100 %.




Une journée de Jamel, ça ressemble à quoi ?

Quand je suis à Paris, réveil par ma mère vers 10h30. Je vais au bureau, déjeune vers15H30 avec mon pote Kader Aoun avec qui j’écris en ce moment. Le reste de la journée, je lis les différents projets sur lesquels on travaille. À partir de 19H, je suis dans le 19ème, rue de Tanger ou Place du Maroc. La quasi-totalité de mes vannes sort de cet endroit. Là-bas, c’est un peu Vol au-dessus d’un nid de coucou. On a l’impression d’être dans un asile psychiatrique mais avec des gens tout à fait normaux. Je quitte le « 19 » vers 21H30, pour me retrouver très souvent au Costes avec Jean-Pierre Bacri avec qui je refais le monde.

Ton featuring avec Snoop Doggy Dog sur la B.O d’Astérix a t-il engendré d’autres projets musicaux dans le genre ?

J’adore James Brown, alors pourquoi ne pas essayer de le solliciter et partir sur un titre comme Sex machine ? Je connais les paroles par cœur. Faut que j’en profite tant qu’il est encore en vie !

Tu es l’un des plus grands fans de Barry White... Pourrais-tu faire un duo virtuel avec lui ?

Franchement, j’ai tellement de respect pour cet artiste que je ne veux pas risquer de lui niquer une de ses chansons. Parce que je sais que je la torpillerais. Il y a des monuments que l’on n’a pas envie de toucher, que ce soit dans la musique ou au cinéma.

Maintenant que tu es riche, à quoi peux-tu encore rêver ?

À une femme, des enfants et une petite maison dans une prairie. Moi je rêve d’amour matin, midi et soir. Pour moi, les femmes, c’est le centre et je le dis sans condescendance. Quand une femme sera présidente aux États-Unis, les choses iront beaucoup mieux. Et je le signe ! Je suis un vrai féministe masculin et j’ai beaucoup de respect pour les meufs, surtout si elles sont bien foutues (rires).

Jamel et l’amour, où ça en est ? La fusion a opéré ou c’est la « sécheresse » sentimentale ?

Je voulais justement t’en parler. Je suis à la recherche de l’âme sœur. Si vous êtes sympathique, accessoirement belle mais très conciliante, c’est-à-dire, prête à toutes sortes d’expériences réalisées dans le 19ème, ça me rendrait service (rires).

Sexuellement parlant, les temps seraient-ils durs pour les artistes ?

En ce moment, ce n’est pas au beau fixe. Dès que je parle à une meuf qui me plaît, elle me dit : « Ouais, mais tu dis ça à tout le monde. Vous, les artistes... ». Avant les filles avaient des a priori sur mon identité de rebeu, maintenant elles en ont parce que je suis artiste. Qu’est-ce qu’il va falloir que je fasse pour qu’on me prenne au sérieux bordel ?

Jamel Debbouze est un romantique ou un obsédé sexuel ?

Pour dire la vérité, je suis un coureur de filles. J’ai une grande gueule et je dis partout que je kiffe les meufs. Mais quand il s’agit d’aller au charbon, il n’y a plus personne. En tout cas, on n’est pas beaucoup !

Imagine... On te demande de faire ton casting pour le rôle, au ciné, d’un veinard à la tête d’un harem... Dans la série « C’est mon choix », quelques noms qui pourraient exacerber ton Modjo ?

Au hasard comme ça, Alyssa Milano. Après je mettrais trois autres meufs qui lui ressemblent, les unes à côté des autres. Tant qu’on y est, j’appellerais Charlize Theron, Isabelle Adjani et Tyra Banks si ça peut lui faire plaisir. Et j’ajouterais Annie Cordy pour délirer...

Est-ce qu’il t’arrive d’être sollicité pour des prestations privées dites « ménages » dans la jet-set ?

Non, je n’ai pas besoin de ça, mais j’ai été contacté par des Saoudiens qui m’ont proposé plusieurs filles nues et quelques millions de francs. En contrepartie, ils voulaient que je joue pour eux mais ce n’est pas le genre de la maison ! L’oseille ne peut pas être un argument pour monter sur scène, ce n’est pas possible. Sinon tu le fais mal. Remarque, si c’est le sultan de Brünei me fait la même proposition et qu’il me paye en smarties derrière les buissons, là je dirais oui (rires). Plus sérieusement, pour des associations caritatives par exemple, je jouerais volontiers.

La plus grosse connerie ou la plus grosse idée reçue à ton sujet que tu aies lue dans la presse ?

Je ne sais pas. Il y en a eu tellement. Mais maintenant, je peux lire n’importe quoi dans les magazines, sans me formaliser pour autant. Au début, c’est vrai, j’étais vraiment très touché par la critique. Maintenant je suis blindé...

Fais tu des procès à la presse ?

Ben oui, c’est drôle les procès parce que ça te fait de l’oseille. C’est toujours marrant de prendre de l’argent à Entrevue ou à Voici. Quand je gagne, je rétrocède la tune tout de suite à des associations car je viens de là. Elles m’ont beaucoup aidé !

Est-ce qu’il t’arrive parfois de te faire des plans de riches, genre prendre un jet privé pour aller dîner à New York ?

Non, je ne suis pas encore Hugues Hefner. Mais il m’est arrivé de faire des trucs de ouf, comme l’organisation de l’anniversaire de Puff Diddy au Maroc. Ce n’était pas mon métier, mais la proposition me parlait. Quelques mois après le 11 septembre, alors que le gouvernement américain conseillait à ses ressortissants de ne pas aller dans les pays du Maghreb. Il m’a semblé intéressant de relever le challenge et d’aller faire la fête avec des Américains au Maroc, précisément à ce moment-là. On a réussi à obtenir les autorisations pour affréter un Boeing pour un Marrakech - New York, alors que la ligne n’existe même pas. Imagine : 500 personnes faisant la teuf pendant 4 jours à Marrakech avec Puff Diddy. C’était incroyable !

« Sortir ? J’attends que les Guetta se réveillent »

Les boîtes de nuit, ça t’inspire quoi ?

Je préfère les clubs où il y a peu de monde et du bon son, plutôt que les soirées blindées où tu entends à peine la musique. J’adore sortir le mercredi et le jeudi, au Man Ray et au Cab, c’est mortel. Josy tient bien sa baraque et on est toujours super bien reçu. Mais j’attends que les Guetta se réveillent !

En club, tu es plutôt style drague dans le carré VIP avec bouteilles sur la table, ou ondulation de ton corps sur le dancefloor ?

C’est stratégique. J’ai toujours une bouteille de champagne dans un carré VIP, sachant que c’est un point de rencontres. Mais les choses se passent surtout dans la cabine du DJ ou dans l’ « arrière-boutique » de la teboi. Tu es dans la fête sans être dedans. Et puis, dans l’ « arrière-boutique », on discute... essentiellement de météo !

C’est vrai que dans ce genre de « back room », il y a toujours des filles intéressées par la pluie et le beau temps...

C’est bizarre. Toutes les « arrière-boutiques » de boîtes de nuit sont tapissées de meufs. Bravo les architectes ! Ca permet aussi d’éviter de se faire casser les couilles par les photographes.

Est-ce qu’il t’arrive de passer derrière les platines pour faire le con ?

Régulièrement, surtout quand c’est Abdel le DJ. Si je me sens bien et qu’il y a un micro allumé, j’y vais, mais il faut que ce soit spontané. Les boîtes, c’est un état d’esprit. Quand tu sors de chez toi, tu sens si tu vas passer une bonne soirée ou non.

Lorsque tu es en tournée en province, que fais-tu après ton spectacle ?

Je m’endors rarement avant 7 heures du matin lorsque je suis sur scène. Alors je fais beaucoup d’after shows dans les clubs. Je prends le micro avec Abdel, je monte sur les tables, je gueule... C’est un exutoire communicatif. Quand t’es dans la fête, les gens te suivent. Je me rappelle de soirées monumentales.

Le top des personnalités que tu kiffes ?

Zidane parce qu’il m’a fait vibrer. Dans la même lignée, il y a Mohamed Ali, pour des raisons évidentes, mais des gens que j’admire, il y en a un milliard. À commencer par ma mère ou Massouda, cette femme qui s’est présentée aux élections en Afghanistan. Il y a aussi mon pote Kader Aoun qui vient de Bobigny et qui a fait Sciences-Po malgré tout.

Tes projets ciné ?

Au mois de janvier, je commence le tournage d’Indigène, avec Samy Naceri. Ce film raconte l’histoire des tirailleurs immigrés qui étaient en première ligne pendant la seconde guerre mondiale. C’est un sujet qui me touche de très près.

Laurent Le Pape
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 23 Fév - 1:49

la suivante est plus neuve!!! salut

Lundi 09 Janvier 2006
Jamel Debbouze sur le grill


A l'occasion de la sortie d'Angel-A, au succès mitigé jusqu'ici, Jamel Debbouze donne une très longue interview au mensuel Studio daté "Janvier 2006 ".

Quelques extraits de l'entrevue à découvrir dans son intégralité dans le magazine.



Luc Besson :

"Si je me suis interessé à ce métier, c'est aussi parce que j'ai regardé Le dernier combat et Nikita. Besson fait partie intégrante de ma culture. Quand j'écrivais mes premiers textes, je l'avais en "bruit de fond". Lui et Scorcese. Ces mecs m'ont donné envie de ce métier. Donc, lui s'interessant à moi, la boucle était bouclée ! On s'était approchés une première fois, en se disant qu'on se respectait et qu'on s'appréciait, mais il me proposait un film qui devait être réalisé par Gérard Pirès Krawzikowicz, un nouveau metteur en scène qu'il a dans son placard (rires). Moi, la seule chose qui m'interessait, c'était de travailler avec lui. Il a entendu, et quand il est revenu, c'était avec Angel-A, qu'il avait écrit pour moi".


"Il a une putain de qualité ce metteur en scène : il réussit à se mettre au niveau des gens qu'il a envie d'atteindre. Il a cherché à me toucher, et il y est parvenu".


Angel-A :

"C'est plus une comédie romantique et, très franchement, c'est un OVNI dans la filmographie de Besson. C'est un autre rhytme, ça ne défouraille pas à tout va. On est pas dans Nikita, ni dans Le 5eme élément. On est un peu dans le Dernier combat, parce que c'est en noir et blanc et un peu quand même dans Nikita, puisqu'il y a une histoire d'amour et aussi une course poursuite avec les keufs, mais elle ne dure pas plus de 30 secondes. Ca ne ressemble à aucun film de Luc et, en même temps, c'est du Luc dans toute sa splendeur."


Pratiquement quatre ans sans tourner...

" Je respecte trop ce métier pour accepter de tourner juste pour tourner. Juste parce qu'il ne faut pas eprdre la main, parce qu'il faut entretenir son statut,...C'est pas mon truc. Les scénarios qu'on m'a proposés, je n'aurais pas pu les défendre : je n'y serais pas allé avec la même énergie que pour Astérix, Amélie, Zonzon, Le ciel,les oiseaux et ta mère ! Quand on me propose Iznogoud, ça ne m'interesse pas aprce qu'on ne peut pas mettre grand chose dans Iznogoud, et puis être calife à la place du calife, ça non plus, ça ne m'interesse pas ..."


Bacri / Veber :

" Avec Jean Pierre Bacri, on a écrit quatre synopsis. Ce n'est pas que ça n'a pas marché, c'est que, finalement, ce n'était pas le bon moment. On n'était pas tout à fait d'accord sur le propos. Surtout, on s'est aperçus que notre motivation première était de faire un film tous les deux, et en fait, on était plus en train de servir un propos que notre rencontre. Dans le sujet qu'on avait choisi, bizarrement, il n'y avait pas de place pour nous. Pour l'instant, on a laissé refroidir...

Quant à Francis Veber, j'ai adoré la cèvre, l'emmerdeur, le dîner d econs, mais là, ça ne me parlait pas ( " La doublure " )...Je ne me voyais pas être un François Pignon de plus. Je ne vois pas ce que ça m'aurait apporté. A Veber oui, mais à moi ?"


Indigènes :

Pour ce film, où il s'est investi comme coproducteur, il a été payé au minimum syndical.

"Ce qui me rend fier là dedans, c'est ce que ça raconte, tout simplement.Le fait que ça ne soit pas qu'un film mais aussi, comme on dit, un devoir de mémoire. Ces Noirs Africains qui se sont battus pour la France, je ne les ai pas vus dans mes livres d'histoire. A peine parle-t-on en trois lignes des tirailleurs sénégalais...Et c'est justement ce qui nous met dans la merde aujourd'hui avec les banlieues, cette fameuse crise d'identité dont parle Chirac ! Elle date pas d'hier, hein pépère...C'est important de dire à mon petit frère, par ce biais, qu'il est français, avec tout ce que ça implique. Qu'il n'a pas à avoir honte, ni à chercher qui il est".

" J'aimerais qu'à travers ce film, les institutions concernées finissent par se rendre compte qu'il y a un trou, une absence qu'il faut combler. Le chef d'Etat peut parler de crise d'identité ! Ces gamins des cités, ils ne savent pas pourquoi ils sont là, et la plupart des français ne savent pas pourquoi on est là. Ce sont eux qu'il faut détendre, à qui il faut expliquer d'où l'on vient"


Interview complète à lire pages 92 à 98, Studio numéro 219.
Revenir en haut Aller en bas
samia94
Langue pendue
samia94


Nombre de messages : 101
Localisation : 94
Date d'inscription : 25/08/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyLun 27 Fév - 2:17

I love you rho oué ça fait plaisir de les relire ces itw, ahlala bah ça va il l'a trouvé mdr sa femme, manque plus que les enfants et la prairie Laughing jamel et la petite maison dans la prairie ptdr
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 2 Mar - 12:11

ben tu vois comme les paillasses se prélassent moi je bosse !!! lol! lollll mais bon j'aimerait des vacance aussi moi pffffffffffff, à la relève !!!!!!
Revenir en haut Aller en bas
*Aurore*
Langue pendue
*Aurore*


Nombre de messages : 2907
Localisation : Loir et Cher
Date d'inscription : 28/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 2 Mar - 20:08

tkte la relève arrive
Revenir en haut Aller en bas
°° LIKI °°
Langue pendue
°° LIKI °°


Nombre de messages : 171
Age : 49
Localisation : belgique
Date d'inscription : 25/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyJeu 2 Mar - 23:43

ben franchement, qu'est ce qu'elle attend la relève??? heing ya jamais personne qui poste un article dans ce truc là ou quoi!Moi cest épuisage de stock! désolée salut
Revenir en haut Aller en bas
pauline
Langue pendue
pauline


Nombre de messages : 8874
Localisation : rennes
Date d'inscription : 20/07/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 3 Mar - 13:45

a ouais desolé liki, bah moi je crois ke g rien à vous montrer Rolling Eyes , mai si je trouve qq chose hop hop hop je le met direct ici Wink
sinon avis à ceux ki trouve des trucs sur jamel ds la presse k'ils n'hesite pa à metre un interview ou qq chose kom sa ds ce topic Smile
voila je t'aide liki Mr. Green Laughing Laughing
Revenir en haut Aller en bas
http://fan2jamel35.skyblog.com
zerlajamelist
Langue pendue
zerlajamelist


Nombre de messages : 9938
Localisation : dijon
Date d'inscription : 31/08/2005

Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 EmptyVen 3 Mar - 18:37

mi nn plus pas d'article en ce moment!
Revenir en haut Aller en bas
http://romanettedu21.skyblog.com
Contenu sponsorisé





Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Jamel dans la presse !
Revenir en haut 
Page 2 sur 7Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7  Suivant
 Sujets similaires
-
» Jamel dans la presse
» Jamel dans 3 magazines ! :')
» photo de jamel dans indigene
» jamel dans envoyer special

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jamel Debbouze :: Discussion Générale-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser