Jamel Debbouze
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 Jamel dans la presse !

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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:17

lol! ha tu es maline zer,
sinon tu biento rendue à 3333mess
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:18

mdr!oué ba boire ou marché alor il fo choisir a a je vous en poz' des colle moi lol!
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:19

Laughing boire ou marcher ! mdr
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:25

ba oué imagine tu marche tkl hop et pui d1 cou hic une voiture et voilà plu de zer!mdr
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:26

lol! tinkiete je suis pas suicidère!
sinn ouii les messages faut pas ke j'oublie!
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:26

Laughing bah oui, zer fait attention ! tu entand bien ce ke te di helene ? hein ? Twisted Evil Laughing
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:28

oui écoute moi !poline a raison G toujour raison clown lol!
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:31

lol! en tte modestie bien sur Mr. Green
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:31

lol! ha hélène je vois ke tu t'initie bien à notre modestie! clown

sinn mi ji go! salut salut! Smile
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:33

Laughing oui c bien helene tu est modestisée mintenan :! lol
ok , d'ailleurs moi ossi je vais dormir ! allez hop hop hop les filles tt le monde o lit c l'heure! mdr
@+++
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:33

bisous zer a 2m1 jéspère et bonne nuit
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 1:34

ok ba bisous a vous 2 les filles alor moi osi je vé dormir hop hop hop!
Bisous et révé bien!!!!
en tte modéstie Wink
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptySam 4 Mar - 11:38

ake coucou! alors fait de beau rêves en toute modestie comme dirait hélène! clown
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyLun 20 Mar - 1:56

Ecco, ça a de l'age mais pour les fan c'est toujours du bon

L'Express du 18/07/2002
Jamel Debbouze
Le beurgeois rebelle
par Gilles Médioni

Prince de la tchatche, du rire et des cités, Jamel l'acteur a vite pris l'ascenseur social. Plus posé, toujours affairé, le producteur Debbouze entend que son histoire soit encore celle d'un mec vrai!

C'est l'histoire d'un mec qui s'appelle Jamel. «Avec un J comme Jean», précise-t-il. Un mec devenu en moins de quatre ans le Coluche d'une France «black, blanc, beur», le «Zidane du rire», le prince de la tchatche et des cités. Formé à l'école de l'improvisation théâtrale - il fut vice-champion du monde - Jamel Debbouze a conduit sa carrière comme un bolide depuis ses premiers pas à Canal + avec Le Cinéma de Jamel (1997) jusqu'à l'Olympia, où il s'est produit trois semaines à guichets fermés (fin 2000), et à Astérix et Obélix: mission Cléopâtre, qui a rassemblé 14,3 millions de spectateurs. «Il a pris carrément l'ascenseur de l'Empire State Building», s'amuse Bertrand de Labbey, son agent, celui de Gérard Depardieu, Jacques Villeret... «Je suis consécramé, analyse l'intéressé. Qu'est-ce qu'il me reste à faire après tout ça? Le plus gros: remettre la balle au centre. Mon quotidien ne se résume pas à l'esbroufe, au spectacle, à la représentation. Mais aussi au temps passé à Trappes [Yvelines] dans ma famille, derrière le périf.» Farces et Trappes, toute une vie...
Chahuteur, agité comme un shaker, mitraillette à néologismes, Jamel retire ses doigts de la prise pour se raconter dans le bureau de Kissman, sa société de production. Trois horloges indiquent l'heure de Paris, Casablanca et Miami, des fuseaux horaires qui font écho à sa multiculture: Paris, où il est né; Casablanca, l'un des berceaux de la famille Debbouze; Miami, la ville de Tony Montana, le héros de Scarface (1983, Brian De Palma), truand cubain faisant main basse sur la Floride. Aux murs voisinent, encadrés, la vidéo de platine de Jamel en scène (410 000 exemplaires vendus), un maillot de foot sur lequel est inscrit «Rebeu 11» (rebeu = beur en verlan), des photos de la pub qu'il a réalisée à Trappes pour Universal Music Mobile, déprogrammée après le 11 septembre. Ici, c'est lui, le patron.

27 ans,
1,65 mètre, 1,07 million d'euros par film
«Moi, j'ai débarqué dans le show-business comme une petite fille qui vient cueillir des marguerites dans la prairie, s'étonne-t-il. Pour me marrer et faire "kiffer" (apprécier). Mais aujourd'hui, j'ai besoin d'avoir autour de moi des gens qui me structurent. Mon avenir passe par Kissman Productions.» En langage des Yvelines, un «kissman» est un mec bien. L'expression découle du Kissclub, la première boîte de nuit parisienne à avoir accepté des Noirs et des beurs. «Il fallait avoir un bon état d'esprit pour y entrer. Contribuer à faire avancer l'Histoire», explique Jamel.

Dans les projets de Kissman figurent une comédie sociale proche de Do The Right Thing - chronique raciale d'un été torride à Brooklyn signée Spike Lee - coécrite avec Jean-Pierre Bacri; Indigènes, un film de Rachid Bouchareb (Little Sénégal), qui rappellera l'épopée des tirailleurs marocains et sénégalais engagés dans l'armée française en 39-45. «C'est grâce à leur sacrifice que j'ai le droit de vote», appuie-t-il. Le troisième dossier est Ça fait plaisir, un spectacle en co-affiche avec Gad Elmaleh, prévu à l'Olympia pour avril 2003. La scène sera partagée en deux: un territoire israélien (Elmaleh), un palestinien (Debbouze). Enfin, un documentaire de cinquante-deux minutes est en route. Thème: l'influence de Scarface sur les jeunes de Brooklyn et de Trappes. Al Pacino a dit oui. Il a ajouté: «Depuis dix-neuf ans, j'attendais que l'on me pose cette question.» Kissman fait avancer l'Histoire: c'est Jamel acte II.

Jamel Debbouze a tout juste 27 ans. Il mesure 1,65 mètre et pèse 1,07 million d'euros par film. C'est l'un des dix comédiens français les mieux payés du moment - il empocherait 1,52 million d'euros pour un futur Ripoux 3 (Zidi). «Avec l'accord de Jamel, un producteur peut monter n'importe quel long- métrage ces jours-ci», assure De Labbey. Mais le dernier film de Jamel, c'est Jamel... en vrai!, un documentaire produit par Kissman et directement édité en vidéo et DVD (Universal), dans lequel il consigne les dix derniers mois de sa course folle. A la caméra, le grand reporter Roland Allard et Karim Debbouze, frère de. Un album de photos,In Bed with Jamel (Albin Michel), accompagne la sortie. La caméra est au cœur de lui-même, de sa famille et du système. «C'est une année où se sont enchaînés Amélie Poulain [il incarnait Lucien, l'épicier], Astérix, l'Olympia, le duo avec Snoop Doggy Dog [rappeur californien], analyse Jamel. Et où je me suis séparé puis remis avec ma meuf, mais ça, c'est pas dans la vidéo...»

Jamel... en vrai! s'arrête également sur le rapport à l' «oseille». «J'ai sauté du RMI à l'ISF [impôt de solidarité sur la fortune] et je dis: hamoudoulah, c'est la classe! comme lorsque mon père empochait en fin de mois son chèque de 3 500 francs à la Comatec [société de nettoyage]», argumente-t-il. Lorsqu'il naît, le 17 juin 1975, le grand-père, «un cerveau», possède trois épiceries à Barbès. Il ouvrira à Casablanca une usine de confection. Jamel est l'aîné de trois frères et deux sœurs. Installés à Trappes, les Debbouze habitent une zone pavillonnaire classée HLM. Les maisons du coin font cercle autour d'un rond-point.
Le goût de la bande, «bouclier» contre l'extérieur, lui est resté
«La quasi-totalité de mes sketchs est inspirée par les histoires et les embrouilles de ce lieu stratégique, dissèque-t-il. C'est là que j'ai vu Nicolas [Anelka] jongler avec un ballon de foot pour la première fois. Là que j'ai fait mes premières impros avec Omar [d'Omar et Fred, le duo comique de Canal +].» Il confie: «Le soir, après le dîner, à l'heure où le rond-point était désert, j'épiais l'ambiance dans les maisons de mes potes. Il se mêlait des odeurs de couscous et de maffé [plat africain].»

Le père est chef de groupe à la Comatec. La maman, femme de ménage chez Bouygues, où elle remporte la médaille de bronze de la meilleure «fourmi». «Je suis sûr et certain qu'elle s'est interdit de vivre les choses passionnément, car, pour elle, cela aurait signifié une perte de temps: elle cumulait deux boulots», regrette Jamel. Les courses chez Ed l'épicier et l'overdose de sous-marques [Mutella, Vroca-Cola] alimenteront ses sketchs: «Les gâteaux avaient la forme, mais aussi le goût du chacal.» Ses parents sont des gens à principes, dignes et pudiques. «Mon père m'avait prévenu: "Si tu ramènes un jour les flics, j'arrache ta page du livret de famille."» L'oncle Abdel, ambulancier, surveille les études. Parfois, 22 personnes vivent à la maison, «par besoin de chaleur, de sécurité». Le goût de la bande, «bouclier» contre l'extérieur, lui est resté. Jamel se déplace rarement seul.
La famille nombreuse, avec ses humeurs, son humour, danse sur Clo-Clo, Barry White ou Farid el-Atrache et regarde les films de De Funès, Fernandel, Jerry Lewis ou... la série Dallas. Mohammed, le père, imite J.R., Jamel, Bobby. «Petits, on s'inspirait déjà des grands pour charrier, se souvient Momo, le frère cadet de Jamel, son "manager affectif", chargé par la mère de veiller sur lui. On était des leaders, pas des suiveurs, c'est sans doute pour cela que l'on n'est pas partis en vrille.» Rien à signaler, à part quelques paires de Nike «empruntées» dans les vestiaires.

A 14 ans, c'est l'accident. Pour attraper le dernier bus, Jamel traverse les voies du RER. Un train le fauche: il gardera son bras droit paralysé, branche noueuse et desséchée. «Sans faire Cosette, jamais avec ce bras dans la poche je n'aurais cru arriver à un tel niveau de satisfaction personnelle», insiste Jamel. «Cela a renforcé sa volonté d'être un artiste, commente Alain Degois, son professeur, actuel directeur de la compagnie Déclic Théâtre à Trappes. On comprenait sa force dès qu'il entrait sur scène.» Alain Degois, dit «Papi», lance à l'époque, en 1989, un atelier d'improvisation de théâtre dans les collèges. Jamel s'y frotte. Son professeur de français l'encourage: «Tu es fait pour ça.»

«Ce sont ces acteurs de mon quartier qui m'ont montré la vérité», s'émeut Jamel. Un silence, puis: «Si un jour Jacques Chirac me demandait ma solution pour les banlieues, je lui dirais que les gens se comporteront normalement quand on les traitera normalement. Les profs, les docteurs, les flics, les facteurs doivent croire en nous. On ne porte pas le gène du vol, de la méchanceté, de l'ingratitude, du voyou...»
...................................A SUIVRE DE SUITE !!!


Dernière édition par le Lun 20 Mar - 2:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyLun 20 Mar - 1:57

.........................................SUITE DE l'EXPRESS

Depuis la réussite de Jamel, Trappes est devenue la cité de l'humour

La banlieue? Mieux vaut en rire! Jamel devient vite la vedette de son collège. L'équipe de la Ligue d'improvisation des Yvelines multiplie les championnats de France et du Québec. Jamel s'entraîne plusieurs fois par semaine, enchaîne les contrats emploi-solidarité et les «sandwichs au pain» avant de tester son premier one-man-show. «Aujourd'hui encore, il a gardé des réflexes de pointeur [gagneur de points dans les championnats], analyse Alain Degois. Il essaie toujours d'avoir le dernier mot, de choper la caméra, de convaincre le public.» Depuis la réussite de Jamel, Trappes est devenue la cité de l'humour. Jamel, très actif dans le football-club local, est vu comme le maire bis. Et Alain Degois anime Les Vacances de l'impro, fréquentées tous les mois de février par 100 juniors.

Jamel rappelle qu'il lui a fallu mordre les planches douze longues années avant de «faire» l'Olympia. Il est reconnaissant aux rencontres qui l'ont mené des cafés-théâtres anonymes à Radio Nova, où il tient à la fin des années 1990 une chronique cinéma inspirée par les commentaires de films américains faits par les jeunes des cités, puis à la chaîne câblée Paris-Première et à Canal +. Là, Alain de Greef, directeur des programmes, pousse la culture hip-hop sous les projecteurs. «Sa capacité d'intervention sur le direct vaut celle de Coluche, de De Caunes, de Chabat ou de Farrugia», juge-t-il.

L'effet Jamel est immédiat. La série H, un Urgences «made in Sarcelles», cartonne. Au cinéma, il interprète un taulard multirécidiviste dans Zonzon, de Laurent Bouhnik. Puis tourne Le Ciel, les oiseaux... et ta mère!, de Djamel Bensalah, comédie fauchée sur des Pieds Nickelés du bitume, qui s'avère le «jack-potes» de l'année 1999: 1,2 million d'inconditionnels suivent Jamel. Désormais vedette des banlieues, il laisse sa Ferrari ouverte avec portable et portefeuille en vue. Le lendemain, il y a encore davantage de billets, et aussi des cédés, des messages: «Continue, tu nous fais du bien», «Tu as décollé du mur», «La citoyenneté, c'est toi» …

«Il oppose à la grande fragilité de son personnage la violence des mots»
L'humour «trappiste» de Jamel tient à l'art maîtrisé de l'improvisation, mais aussi à l'étude de quelques maîtres, comme Charlie Chaplin, Eddie Murphy (Le Flic de Beverly Hills) ou Albert Dupontel, qui triompha dans un one-man-show (1992) avant de s'imposer comme acteur-réalisateur (Bernie). «Jamel m'a confié un jour m'avoir tout piqué, se marre Dupontel. Moi, je jouais les névropathes de banlieue sans les côtoyer. Lui, si. Il oppose à la grande fragilité de son personnage la violence des mots.»

«Pareil à Chaplin ou à Keaton, Jamel puise sa force dans l'entre-deux, le seuil, la frontière, décrypte Olivier Mongin, directeur de la revue Esprit, qui vient d'écrire Eclats de rire (Seuil). En cela, il est au centre du débat sur l'émigration.» Né ici donc «ici-ien», comme il dit, accompagné d'un «Laisse-moi tranquille, Le Pen», Jamel incarne les France. Et d'abord celle d'en dessous, celle des halls de HLM, qui ne maîtrise pas bien le français mais cherche le mot juste. «Sa langue, c'est le «rebeu», poursuit Mongin. Il casse le français avec beaucoup de malice, injecte de l'arabe dans le verlan, agence des interjections. Physiquement aussi, c'est un perturbateur, capable de bondir tel un lionceau, de tourner sur lui-même comme d'avancer en ligne droite.»

«Sa part marocaine est considérable, notamment dans sa danse du corps», confirme Azouz Begag, sociologue et auteur des Dérouilleurs (Mille et Une Nuits) ou l'histoire des «grands frères» qui n'ont pas voulu «rouiller» en cité. «Il incarne la symbiose Afrique du Nord-Europe avec une harmonie inouïe, souligne Begag. Et contribue à créer de la mémoire commune, à nous enraciner dans la culture française.»

«Il suffit que je franchisse une porte pour que je sois français ou marocain», prétend Jamel, qui jongle avec toutes les provocations. Iconoclaste en France, il est cependant respecteux au Maroc, où il s'incline devant le roi. Loin de la génération beur des années 1980, qui a engendré l'actuelle beurgeoisie de quadras, Jamel s'impose cash. «Jamel, Eric & Ramzy ont donné un coup de vieux à l'humour plus institutionnel de Muriel Robin, de Palmade, de Bigard, assure Jimmy Levy, son ex-producteur. Même leurs tournées ressemblent à des tournées de rockers.»

La politique ne s'y trompe pas. François Mitterrand, croisé lors d'un gala, l'invite à une garden-party du 14 Juillet. Le roi Hassan II le félicite lors d'une émission à la télé. Et Sa Majesté Mohammed VI l'installe à la place d'honneur, lors du 1er Festival du film de Marrakech, l'an dernier. Tout un symbole, tout un statut. Au Maroc, où il a tourné des pubs pour Maroc Telecom, Jamel est d'ailleurs une star. Quand il se promène dans la rue, mille personnes crient son nom, veulent le toucher.

«Toutes les situations sont à lui s'il le décide. Ensuite il les "jamellise" dans le sens d'une réflexion très universelle»
C'est que Jamel est devenu une grosse machine qui tourne rond. «Il n'est pas dupe, il sait qu'il est un produit, confie un collaborateur. Abusé par certains, il en a gardé de la tristesse, pas de l'amertume.» L'abus, c'est une escroquerie de plus de 300 000 euros organisée par une ex-assistante, contre laquelle il a déposé plainte. Mais aussi des différends inhérents au show-biz. Son cachet pour Le Ciel, les oiseaux... n'a pas dépassé les 15 250 euros. Il a touché tout juste 4% sur la vente des premières vidéos, qui aurait rapporté 38 millions d'euros. Et les droits de ses premiers sketchs appartiennent à son ancien producteur. Son spectacle aurait engrangé 1,07 million d'euros. Sommes non confirmées par la production.

«Je lui tire mon chapeau, confie son frère Momo. Il a été livré à lui-même dans un milieu inconnu, mais il a su garder son sang-froid face à toutes les situations.» «Jamel est un mec en boucle qui ne touche à rien: ni cigarette ni alcool. Il mange peu, réfléchit beaucoup, fait ses cinq prières et discute avec les anciens», ajoute Roland Allard, qui a tourné trois cent cinquante heures de rush pour Jamel... en vrai! «C'est à peu près une journée de Jamel», rigole-t-il. Il insiste: «Toutes les situations sont à lui s'il le décide. Ensuite il les "jamellise" dans le sens d'une réflexion très universelle.» «Généreux, gentil, mais parfois un peu roublard», selon un proche, Jamel est capable du pire comme du meilleur. «Il se fâcherait avec lui-même pour dire une connerie», assure Alain Chabat, qui l'a dirigé dans Astérix. On a vu Jamel vanner Catherine Trautmann, alors ministre de la Culture, sur son «tailleur Zavatta», lors d'une cérémonie des césars; ou ramener Ronaldo pour un match de foot nocturne en plein Festival de Cannes. Fêtard, nuiteux, injoignable - il donne ses portables à ses frères et sœurs - il cumule les retards et les lapins, appelle trois jours après un déjeuner planté et s'excuse pour le dîner: «Mon père était malade, sur la vie d'ma mère.» Faut s'adapter. Son duo avec Snoop Doggy Dog en a choqué plus d'un: «Les insanités que profère Snoop envers les femmes sont contradictoires avec les valeurs de Jamel», reconnaît un de ses copains. L'année 2000, il additionne les sales histoires. Un de ses gardes du corps est retrouvé assassiné, une course-poursuite un peu chaude, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, fait couler de l'encre et une altercation avec des policiers à Bercy, le soir du 1er janvier 2000, l'inscrit à la rubrique faits divers. Jamel y est photographié face à terre. Incident ou bavure, «l'affaire Jamel» prend de l'ampleur. Il perdra son procès. L'ombre du gangsta-rap plane alors sur lui. «J'ai subi une injustice, se défend Jamel. Ce qui m'a déçu, c'est que l'on ait pensé que j'orchestrais ma pub, puis que l'on m'associe à tous les voyous de Paname. A l'époque, j'étais mal entouré, c'est vrai, mais Johnny Hallyday ou Will Smith l'ont aussi été à un moment de leur carrière.»

«Pourquoi Jamel devrait-il être un modèle, un porte-drapeau, un porte-parole, s'énerve Alain Chabat, alors qu'on n'exige rien de comédiens de sa génération?» Au mois de novembre 2000, lors d'une rencontre sur LCI avec Sœur Emmanuelle, cette dernière lui a affirmé: «Nous deux, on exerce le même métier, on a le même public. Le mien vit au Caire sur des ordures. Le tien est malheureux dans sa tête.» Puis elle a ajouté, en arabe: «Reste toujours le fils de ta mère.» Et Jamel a pleuré.

salut
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyLun 20 Mar - 2:20

APRES L'EXPRESS de 2002,(voir la page avant)
UN PLUS RECENT.
BONNE study salut

Jamel
Un petit rebeu bien d'ici

Après quatre ans d'absence, voulue, du grand écran, l'acteur le mieux payé de France revient dans « Angel-A », de Luc Besson. Portrait d'un comique très réfléchi à la trajectoire impressionnante.

François-Guillaume Lorrain

Paradoxe de notre cinéma : Jamel, l'acteur le mieux payé de France pour « Astérix », ne tournait plus depuis quatre ans. Luc Besson, qui avait lui-même laissé de côté sa casquette de cinéaste pendant six ans, lui offre, avec « Angel-A », un retour qui ne passera pas inaperçu.


On résume un peu vite Jamel à un zébulon tcha-tcheur, habile à faire kiffer son public. Saluons un parcours réfléchi qui évite les redites. Saurait-il en être autrement quand on a pour agent Bertrand de Labbey, l'excellent patron d'Artmedia, et pour conseiller Alain De Greef, qui l'avait appelé à Canal + en 1996 ? D'où cet autre paradoxe. Adoubé dans « Astérix» par son complice Alain Chabat, Jamel a ouvert le règne de ces comiques issus de la scène ou de la télé - José Garcia, Michaël Youn, Eric et Ramzy, Gad Elmaleh - qui affolent certains producteurs de cinéma. Et pourtant, il a décliné, depuis 2001, toutes les grosses comédies franco-françaises. « La Beuze », « Iznogoud » - deux rôles repris par Youn -, « Le boulet» - Garcia en a hérité -, « Les Dalton » - « On lui avait fait le plus grand pont d'or du cinéma français », avoue De Greef -, jusqu'à « La doublure » - 3,5 millions d'euros lui avaient été proposés - de Francis Veber, où Gad Elmaleh l'a remplacé.


Il ne veut pas oublier. Jamel l'avoue, il a fait lanterner pas mal de cinéastes, dans l'attente d'un nouveau challenge. Contacté par Besson, il refuse plusieurs scripts avant « Angel-A », où le cinéaste lui propose d'être son double. Un « André » immature qui ne s'aime pas, apprend à pleurer, à dire « Je t'aime ». Un rôle en or pour le petit rebeu qui « a un bras dans la poche ». Comme tout grand comique, Jamel vise le Bourvil du « Cercle rouge », le Coluche de « Tchao Pantin ». Besson lui apporte cette mue sur un plateau d'argent.

A 31 ans, il vise aussi le politique. L'heure est grave et son pouvoir est immense : l'enfant de Trappes incarne cette génération qui n'a peur de rien. Son dernier spectacle, en 2004, énumère ses détestations : l'intégration - « On n'a pas à s'intégrer, on est d'ici, on est icissien » -, l'« ami Sarko » et sa tolérance zéro, TF1 qui vend de la peur, les profs de ZEP en panique, les conseillers de désorientation. A contrario, il idéalise sa cité « magique » : les cinq continents, les batailles de polochons avec les briques, les cris : « Si les voisins portugais s'engueulaient pas, je pouvais pas dormir. » Le 11 décembre, sur TF1, coproducteur du Besson - paradoxe de la promo -, il incitait les jeunes à aller voter et rappelait l'étymologie de « banlieue », lieu de bannissement : « On les traite comme des merdes. Il ne faut pas s'étonner qu'ils se comportent comme des merdes. » Avec sa Ferrari et ses cachets, Jamel sait qu'il n'est plus des quartiers, mais il ne veut pas oublier.

Comme il ne veut pas oublier son arrière-grand-père tirailleur marocain pour la France en 1914. « A sa mémoire il a fait "Indigènes" », explique Rachid Bouchareb, le réalisateur de ce film très attendu (sortie septembre 2006). Il raconte l'odyssée de l'armée d'Afrique, qui débarqua en Italie puis en Provence, pour libérer en 1944 la mère patrie. « La France ne leur a rendu aucun hommage. » Pour ce tournage, qui a duré de janvier à mai 2005 en présence d'anciens combattants, Jamel a touché le minimum syndical, soit 300 euros par mois. Son nom a été un sésame : « Son amitié avec Mohammed VI nous a permis d'avoir l'appui de l'armée marocaine et de Royal Air Maroc. » Financièrement, Jamel a ouvert aussi quelques robinets : « Comme il le dit, précise Bouchareb, pour un film où il glisse sur des peaux de banane, les télés auraient donné beaucoup d'argent. Là, vu le projet, on en a eu un peu. » Jamel a pris aussi des risques en coproduisant le film avec Kissman, sa société de production.

Une société qui a évolué. Créée en 1999 pour produire les DVD de ses spectacles, son activité se diversifie : « Nous allons lancer une émission de variété sur une grande chaîne, annonce De Greef. Nous avons une sitcom, qui reprend le scénario commencé par Jamel avec Jean-Pierre Bacri, qui s'est désisté. » Parmi les projets, un documentaire et deux scénarios, une comédie sociale et un conte pour enfants, coécrits par Jamel et Kader Aoun, le metteur en scène de ses spectacles. D'autres aventures s'annoncent, dont « Les chevaliers de la table basse », film que le vieux complice Chabat concocte pour Jamel et Gad Elmaleh. Mais Kissman Productions est devenu le QG de Jamel, la preuve de son désir de construire. Le Kiss était une boîte de nuit, dans les années 70, qui acceptait parfois les Arabes. Un Kissman était un Arabe qui avait réussi à entrer. Comme dirait Jamel : « Lâchez pas le morceau ! »

Repères
18 juin 1975 : naît à Paris, l'aîné de six enfants. Père agent d'entretien à la RATP, mère femme de ménage chez Bouygues.

1995 : après sept ans à la ligue d'impro théâtrale de Trappes, repéré par Jean-François Bizot, directeur de Nova. Débuts à Radio Nova puis à Canal + dans « Le cinéma de Jamel ».

1999 : « Le ciel, les oiseaux et ta mère ! », de Djamel Bensalah. Premier spectacle.

2001 : interprète Lucien l'épicier dans « Amélie Poulain ».

Numérobis dans « Astérix et Obélix : mission Cléopâtre ».

Fin 2003 : « 100 % Debbouze », spectacle.

2005 : joue André dans « Angel-A ».

2006 : « Indigènes », de Rachid Bouchareb.




« Angel-A »
« Angel-A » porte le prénom d'une femme, mais il s'agit d'un film d'hommes. Comme deux retours valent mieux qu'un, Luc Besson, plus présent derrière les caméras depuis « Jeanne d'Arc », a ramené dans ses valises Jamel, qui, à dire vrai, ne devait pas être du voyage. « Angel-A » était prévu en anglais avec Uma Thurman et Nicolas Cage. Le script n'ayant guère emballé Hollywood, Besson l'a rapatrié en réduisant la voilure. Sur l'échelle bessonnienne, « Angel-A » est un « petit » film à 18 millions d'euros. Dont 3, dit-on, pour Jamel.






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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyLun 20 Mar - 11:10

merci liki toujours la pour nous ramener des bonne revue

j'avais bien aimé cette article kan je l'avé trouvé
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMar 21 Mar - 14:02

ouai qd g ma crise je fais profiter! c'est bien de profiter.... mais sans en abuser ... Laughing bien evidemment! heu heu
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMar 21 Mar - 14:43

ha c'est sympa liki de nous faire profiter! Wink
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMar 21 Mar - 18:38

Sérieux plus je me penche sur sa carrière et plus j'hallucine! c ke mm un truc de malade d'être arrivé à force de beaucoup de volonté et de soutien là où il en est aujourd'hui!! un concentré de talent immense ds juste 1m65 et qques bouclettes lol! RESPECT!!!

LACHE RIEN JAMEL! encor plein plein de barres stplizzzz!!! Very Happy
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMer 22 Mar - 12:58

moi je suis drogué et ma mdrogue c notre jamelou
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMer 22 Mar - 14:32

ouiii on peut considérer la jamelisation comme étant une drogue des fois! Laughing lol!
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMer 22 Mar - 15:36

Mr. Green Razz Laughing ouais karrement ! sauf ke sa se fume pas, sa s'ecoute et sa se regarde Laughing
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMer 22 Mar - 15:56

lol! et c'est tres bon pr la santé contrairement au fumage!
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MessageSujet: Re: Jamel dans la presse !   Jamel dans la presse ! - Page 4 EmptyMer 22 Mar - 16:05

lol! a ouai c super bon sa ! mais kom la cigarette on peu devenir dependan Mr. Green
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